L’histoire est inventée, les dialogues et les didascalies sont écrits. Il ne restait plus qu’à corriger, « au cas où »… des fautes ou des maladresses… On ne sait jamais ! Chaque page a été relue par trois à quatre élèves, puis par moi. Nous avons tous trouvé des fautes différentes, des fautes dans les corrections aussi.
L’occasion de se rendre compte que nous voyons toujours les erreurs des autres et pas les nôtres, d’analyser le pourquoi de ce phénomène, pour en arriver à un mot que nos jeunes écrivains ont découvert pendant ces séances : HUMILITÉ. (Qu’ils confondent avec « humiliation », très intéressant !).